Matériel d’information

„Die Häuser denen, die drin wohnen !“ [DE]

Rotes Buchcover mit dem Titel "Die Häuser denen, die drin wohnen!" und Untertitel: Kleine Geschichte der Häuserkämpfe in Deutschland vom Unrast Verlag (Bewegungslehre)

Petite histoire des luttes pour le logement en Allemagne. Avec des objectifs politiques, des motivations, des raisons et des idées très différents, les luttes pour le logement, des loyers abordables et des maisons ont une longue histoire et une longue tradition en Allemagne.


„Das Private ist Politisch“ – Häuserkampf und Gender [DE]

Cet article traite des débats autour du genre, du sexisme/de l’homophobie et des structures patriarcales, ainsi que de l’organisation autonome des femmes, lesbiennes, queer, trans et travesties dans les squats/maisons légalisées et les aires de stationnement pour camping-cars en Allemagne de l’Ouest à partir de 1970, et de la remise en question des identités et attributions de genre bipolaires et hétéronormatives établies.


Besetzen im 21. Jahrhundert – »Die Häuser denen die drin wohnen« [DE]

Article tiré de «Reclaim Berlin» Les luttes sociales dans la ville néolibérale

Les grandes vagues d’occupation de 1980/81 à Berlin-Ouest et de 1989/90 dans l’ensemble de Berlin, en particulier dans la partie est de la ville avec plus de 120 maisons occupées à chaque fois, ont conduit, en plus de nombreuses expulsions, à la légalisation d’une grande partie de ces maisons. La dernière grande vague d’expulsions de squats et de campements de voitures a eu lieu au milieu des années 90, sous la responsabilité de Jörg Schönbohm, alors sénateur de l’Intérieur CDU et ancien général de l’armée allemande. Outre l’absence d’un mouvement politique plus important et plus large qui aurait eu la capacité de mobiliser massivement, la répression étatique sous la forme de l’application systématique de la « ligne de Berlin » a contribué de manière significative à empêcher les occupations.


Kämpfende Hütten – Urbane Proteste in Berlin von 1872 bis heute [DE]

Brochure de l’exposition : kaempfendehuetten


« Dieses Haus ist besetzt » [DE]

Le texte a déjà été publié sous une forme légèrement modifiée dans le numéro d’octobre/novembre 2017 du magazine Missy Magazine.

 


Squatting and Diversity – Gender and Patriarchy: In Berlin, Madrid and Barcelona [EN]

publié dans le livre : The Squatters Movement in Europe – Commons and Autonomy as Alternatives to capitalism (Squatting Europe Kollective)

 


« Our struggle will continue  » Women-refugee activists of squatted Ohlauer Straße 12, International Women’s Space in Berlin (2016) [EN]

Entretien avec l’International Women Space


« We don’t want Just one cake, we want the whole fuckin’ bakery! » Autonomy Meets Repression and Institutionalisation [EN]

« Comment lutter contre la spéculation immobilière et la propriété, la gentrification et l’espace public corporatif avec un centre social légal qui a plus en commun avec ces choses que le contraire ? Comment pouvons-nous engendrer le radicalisme dans notre société si le premier point de contact des gens avec la politique non conventionnelle est un espace construit sur le compromis, qui n’existe que parce que l’État le permet ?

Luisa Rossini, azozomox & Galvão Debelle


« The History and Cycles of Squatting in Berlin (1969-2016) » [EN]

Notre enquête sur le squattage à Berlin-Ouest et Berlin-Est de 1969 à 2016 révèle qu’environ 650 entités – des maisons, usines et villas aux parcs, terrains non bâtis ou à l’ancienne bande de la mort de la frontière entre les deux États allemands – ont été squattées dans un cadre politique et avec des intentions politiques. Le squattage est lié aux circonstances politiques générales et à la force des mouvements politiques.


« Ni Dios ni estado ni Patriarcado. La Lucha de okupas y del genero » [CAS]

Déjà publié dans : La Fundación Betiko, http://fundacionbetiko.org/portfolio/2012/ Ni-Dieu-ni-État-ni-patriarche.-La-lutte-des-squatteurs-et-le-genre-petit


The Untold Struggles of Migrant Womxn Squatters in Berlin-Kreuzberg – The Occupations of Kottbusser Straße 8 and Forster Straße 16/17 [EN]

À Berlin-Ouest, Kreuzberg était le quartier central du mouvement squat au début des années 1980 ; près de la moitié des maisons squattées s’y trouvaient. En même temps, c’était aussi un quartier de migrants. La majorité de la population migrante de Berlin-Ouest venait de Turquie et du Kurdistan et vivait à Kreuzberg. Bien que la situation de logement misérable des migrants ait été racontée et analysée sous différents angles, le rôle des migrants dans la prise d’initiative, la participation et la transformation des luttes pour le logement et l’urbanisme, en particulier dans le mouvement des squatteurs, reste largement méconnu. Dans ce chapitre, nous souhaitons discuter de deux expériences de squat de femmes migrantes originaires de Turquie et du Kurdistan au début des années 1980 à Berlin-Kreuzberg.


QUESTIONS D’HIER ET DE DEMAIN: Squats, mode d?emploi a été publiée dans le Forum Civique Européen [FR]

Nous continuons notre série d?articles sur les squats, cette fois-ci avec un historique des squats en Allemagne: les occu-pations à partir de 1968 à Berlin-Ouest, Berlin-Est et dans le Berlin unifié. Cette partie est consacrée à Berlin-Est puis à Berlin réunifié.
Au début des années 1970, l?occupation de milliers d?appartements et de quelques maisons individuelles a gagné Berlin-Est.